Bienvenue sur Écologie Pratique 15 oct. 2024 - 22:00
Superbe ta réalisation :)
Comment fonctionne t-il ? :
Comment fonctionne t-il ? :
Salut Pascal,
Je dois encore travailler sur les mesures précises de températures. Il fonctionne très bien.
Combustion parfaite. Quand j'ouvre la porte du four, pas de fumées. Il faut être vigilant au début de la flambée.
Plateau à 800°C dans le HR pendant 30 à 60 mn suivant le chargement.
La première cloche monte à 80°C (point le plus chaud de la surface extérieure).
Cependant, comme prévu, il est sous dimensionné. Ça chauffe pas assez. mais le matin, on sent la différence, fini les 12°C.
Autre point noir, les fumées qui sont transférées à la deuxième cloche ne sont pas assez chaudes pour chauffer la deuxième pièce.
La deuxième peau monte à peine à 40°C. J'ai retiré la peau extérieur mais je dois encore rebrancher les thermocouples.
Je dois encore travailler sur les mesures précises de températures. Il fonctionne très bien.
Combustion parfaite. Quand j'ouvre la porte du four, pas de fumées. Il faut être vigilant au début de la flambée.
Plateau à 800°C dans le HR pendant 30 à 60 mn suivant le chargement.
La première cloche monte à 80°C (point le plus chaud de la surface extérieure).
Cependant, comme prévu, il est sous dimensionné. Ça chauffe pas assez. mais le matin, on sent la différence, fini les 12°C.
Autre point noir, les fumées qui sont transférées à la deuxième cloche ne sont pas assez chaudes pour chauffer la deuxième pièce.
La deuxième peau monte à peine à 40°C. J'ai retiré la peau extérieur mais je dois encore rebrancher les thermocouples.
Retour d’expérience concernant la construction (materiaux et ajustement) :
- Briques : pas de dommage visible. Les joints larges en argile sont craquelés, les fins restent étanches.
- Acier : pas de dommage visible sur le floor channel, même sur la bouche près de l’entrée du HR. La porte est intacte, pas de déformation.
- Vitres : la vitre du foyer est restée relativement propre après une saison complète. Les deux arrivées d’air primaire de chaque côté du cadre de la porte semblent être efficaces pour éviter le dépôt de suie sur pratiquement toute la vitre.
- Mesures : sur plus de 50 points de mesure, 3 thermocouples et 1 amplificateur sont HS.
Améliorations à apporter pour le prochain design:
- Laisser plus de jeu entre les briques inclinées au bas du foyer et le floor channel. Ce dernier se remplissant de cendres, j’ai dû desceller des briques pour pouvoir le retirer et le vider.
- Il restait un léger excès d’huile de lin sur la porte quand je l’ai montée. Celui-ci s’est liquéfié puis solidifié pendant les premiers feux, résultant en d’horribles coulures. J’essuierai plus consciencieusement la prochaine porte.
-
Redondance des points de mesure : mettre systématiquement 2 thermocouples à chaque point de mesure. Ils ne coûtent pas très cher mais on ne peut pas les remplacer quand ils cassent ou vieillissent.
Retour d’expérience sur la qualité de la combustion et son rendement :
Grâce à ce nouveau poêle, je n’ai pas eu à acheter de bois cet hiver. J’ai pu brûler tous types de bois. Beaucoup de chutes qui trainaient autour de la maison depuis des années et aussi du thuya coupé il y a deux ans. Ce prototype m’a coûté autant que ce que j’aurais dû payer en bois de chauffage cet hiver.
Démarrage du feu :
- Sur poêle froid : on atteint 700°C dans le HR en moins de 10 minutes en allumant un petit feu au fond du foyer à partir de carton et de petit bois.
La totalité du combustible est alors posée devant ce mini foyer.
La porte est alors laissée légèrement ouverte jusqu’à ce que la température du HR atteigne 500°C (un bon ronronnement dans le floor channel).
- Rechargement sur braises vives : Ce poêle étant sous dimensionné pour chauffer ma maison, j’ai dû effectuer jusqu’à 5 feux par jour. L’emballement thermique limite l’apport de combustible. En effet, ajouter du bois sur un lit de braises résulte en une combustion incontrôlée et incomplète ainsi que la production de fumées noires. Il faut attendre que pratiquement toutes les braises soient consumées avant de recharger le poêle. Je pousse alors le restant de braises au fond du foyer et je pose un premier étage de bois devant celles ci. Si les flammes n’apparaissent pas spontanément, j’ajoute un peu de carton et petit bois sur les braises, puis le reste du bois devant les flammes. Sur poêle bien chaud, la porte peut être fermée tout de suite.
- Bypass : il est utile pour faciliter le démarrage quand les cloches sont froides. Bypass fermé, l’allumage se fait mais cela demande plus de temps pour obtenir des fumées propres. Il n’est pas très utile quand les cloches sont chaudes ( jusqu’à 24h après un feu).
Qualité du feu (pollution et suie) : -
Combustion idéale : la plupart du temps, le bois va brûler tranquillement depuis le fond vers le devant du foyer. La température du HR reste stable entre 650°C et 750°C pendant presque une heure avant de décroitre lentement.
- Emballement thermique : si le feu est trop vif, il va créer des fumées épaisses. Le type de bois ainsi que la façon de charger le bois va favoriser cela. Dans un tel cas, je tasse le tas de bois embrasé avec une pelle afin de limiter l’arrivée d’air entre les bûches.
- Chargement : afin de créer un feu brûlant tranquillement sans pollution, j’ai remarqué qu’il vaut mieux charger les plus grosses bûches en dessous et les plus fines au-dessus. Ces dernières brûlent plus vite. Placées dessous, elles vont embraser le chargement complet en dégageant une épaisse fumée noire.
- Chargement (suite) : ce chargement présente aussi un inconvénient. Les grosses bûches touchant les cendres vont se consumer lentement en fin de combustion. La combustion est alors trop faible et pollue. J’obtiens une bien meilleure fin de combustion en les posant sur deux morceaux de bois perpendiculaires au tas, ce qui permet à l’air de circuler sous le tas de bois (Peterberg utilise des barres en métal).
- Rechargement : j’ai remarqué que si je recharge le bois dans un foyer très chaud (>200°C) et/ou avec du bois trop fin, le feu s’emballe facilement et ceci plus souvent avec du résineux.
- Suie : Après une saison complète à brûler essentiellement du thuya jusqu’à 5 fois par jour, la première cloche est couverte de suie mais cela reste raisonnables comparer au dépôt que provoque un tel bois dans un poêle standard.
Puissance de chauffe :
- Dimensionnement : Ce prototype a été conçu pour utiliser le conduit existant de 125 mm. C’est clairement sous dimensionné pour ma maison de 120m² faiblement isolée. En fait, cela a été suffisant pour chauffer ma cuisine et tempérer la pièce toute la nuit tant que la température extérieure restait supérieure à 10 °C le jour et 0°C la nuit. Durant plus de la moitié de la saison, 2 à 3 chargements (moins de 10kg/jour) ont été suffisants. Mais pour le reste de la saison, j’ai beau eu faire jusqu’à 5 feux par jour (impossible d’en faire plus sans emballement thermique), la température dans la pièce a plafonné à 17 °C. On a passé deux semaines difficiles avec une maison entre 10 et 13 °C.
Le poêle final devra chauffer le triple de surface. Il faut donc pouvoir brûler au moins trois fois plus de bois. Un batch de 200 ou 250 mm permet de brûler 14 ou 27 kg de bois par lot. Avec le poele godin, je brûlais jusqu’à 30 kg de bois par jour pour obtenir une température de 22°C dans la cuisine et 16°C à côté. Donc un batch 200mm devrait être le mieux adapté avec un feu en mi-saison, 2 feux en saison froide et 3 feux par jour en cas de vague de froid.
- Orientation de la porte : La porte irradie bien plus que les parois en brique. Je voudrais mieux utiliser cet apport de chaleur. Je vais l’orienter vers le milieu de la pièce. J’envisage aussi de prolonger cette surface radiative vers le haut en remplaçant la vitre du four noir par une plaque en métal afin de chauffer plus rapidement la zone de vie.
- Briques : pas de dommage visible. Les joints larges en argile sont craquelés, les fins restent étanches.
- Acier : pas de dommage visible sur le floor channel, même sur la bouche près de l’entrée du HR. La porte est intacte, pas de déformation.
- Vitres : la vitre du foyer est restée relativement propre après une saison complète. Les deux arrivées d’air primaire de chaque côté du cadre de la porte semblent être efficaces pour éviter le dépôt de suie sur pratiquement toute la vitre.
- Mesures : sur plus de 50 points de mesure, 3 thermocouples et 1 amplificateur sont HS.
Améliorations à apporter pour le prochain design:
- Laisser plus de jeu entre les briques inclinées au bas du foyer et le floor channel. Ce dernier se remplissant de cendres, j’ai dû desceller des briques pour pouvoir le retirer et le vider.
- Il restait un léger excès d’huile de lin sur la porte quand je l’ai montée. Celui-ci s’est liquéfié puis solidifié pendant les premiers feux, résultant en d’horribles coulures. J’essuierai plus consciencieusement la prochaine porte.
-
Redondance des points de mesure : mettre systématiquement 2 thermocouples à chaque point de mesure. Ils ne coûtent pas très cher mais on ne peut pas les remplacer quand ils cassent ou vieillissent.
Retour d’expérience sur la qualité de la combustion et son rendement :
Grâce à ce nouveau poêle, je n’ai pas eu à acheter de bois cet hiver. J’ai pu brûler tous types de bois. Beaucoup de chutes qui trainaient autour de la maison depuis des années et aussi du thuya coupé il y a deux ans. Ce prototype m’a coûté autant que ce que j’aurais dû payer en bois de chauffage cet hiver.
Démarrage du feu :
- Sur poêle froid : on atteint 700°C dans le HR en moins de 10 minutes en allumant un petit feu au fond du foyer à partir de carton et de petit bois.
La totalité du combustible est alors posée devant ce mini foyer.
La porte est alors laissée légèrement ouverte jusqu’à ce que la température du HR atteigne 500°C (un bon ronronnement dans le floor channel).
- Rechargement sur braises vives : Ce poêle étant sous dimensionné pour chauffer ma maison, j’ai dû effectuer jusqu’à 5 feux par jour. L’emballement thermique limite l’apport de combustible. En effet, ajouter du bois sur un lit de braises résulte en une combustion incontrôlée et incomplète ainsi que la production de fumées noires. Il faut attendre que pratiquement toutes les braises soient consumées avant de recharger le poêle. Je pousse alors le restant de braises au fond du foyer et je pose un premier étage de bois devant celles ci. Si les flammes n’apparaissent pas spontanément, j’ajoute un peu de carton et petit bois sur les braises, puis le reste du bois devant les flammes. Sur poêle bien chaud, la porte peut être fermée tout de suite.
- Bypass : il est utile pour faciliter le démarrage quand les cloches sont froides. Bypass fermé, l’allumage se fait mais cela demande plus de temps pour obtenir des fumées propres. Il n’est pas très utile quand les cloches sont chaudes ( jusqu’à 24h après un feu).
Qualité du feu (pollution et suie) : -
Combustion idéale : la plupart du temps, le bois va brûler tranquillement depuis le fond vers le devant du foyer. La température du HR reste stable entre 650°C et 750°C pendant presque une heure avant de décroitre lentement.
- Emballement thermique : si le feu est trop vif, il va créer des fumées épaisses. Le type de bois ainsi que la façon de charger le bois va favoriser cela. Dans un tel cas, je tasse le tas de bois embrasé avec une pelle afin de limiter l’arrivée d’air entre les bûches.
- Chargement : afin de créer un feu brûlant tranquillement sans pollution, j’ai remarqué qu’il vaut mieux charger les plus grosses bûches en dessous et les plus fines au-dessus. Ces dernières brûlent plus vite. Placées dessous, elles vont embraser le chargement complet en dégageant une épaisse fumée noire.
- Chargement (suite) : ce chargement présente aussi un inconvénient. Les grosses bûches touchant les cendres vont se consumer lentement en fin de combustion. La combustion est alors trop faible et pollue. J’obtiens une bien meilleure fin de combustion en les posant sur deux morceaux de bois perpendiculaires au tas, ce qui permet à l’air de circuler sous le tas de bois (Peterberg utilise des barres en métal).
- Rechargement : j’ai remarqué que si je recharge le bois dans un foyer très chaud (>200°C) et/ou avec du bois trop fin, le feu s’emballe facilement et ceci plus souvent avec du résineux.
- Suie : Après une saison complète à brûler essentiellement du thuya jusqu’à 5 fois par jour, la première cloche est couverte de suie mais cela reste raisonnables comparer au dépôt que provoque un tel bois dans un poêle standard.
Puissance de chauffe :
- Dimensionnement : Ce prototype a été conçu pour utiliser le conduit existant de 125 mm. C’est clairement sous dimensionné pour ma maison de 120m² faiblement isolée. En fait, cela a été suffisant pour chauffer ma cuisine et tempérer la pièce toute la nuit tant que la température extérieure restait supérieure à 10 °C le jour et 0°C la nuit. Durant plus de la moitié de la saison, 2 à 3 chargements (moins de 10kg/jour) ont été suffisants. Mais pour le reste de la saison, j’ai beau eu faire jusqu’à 5 feux par jour (impossible d’en faire plus sans emballement thermique), la température dans la pièce a plafonné à 17 °C. On a passé deux semaines difficiles avec une maison entre 10 et 13 °C.
Le poêle final devra chauffer le triple de surface. Il faut donc pouvoir brûler au moins trois fois plus de bois. Un batch de 200 ou 250 mm permet de brûler 14 ou 27 kg de bois par lot. Avec le poele godin, je brûlais jusqu’à 30 kg de bois par jour pour obtenir une température de 22°C dans la cuisine et 16°C à côté. Donc un batch 200mm devrait être le mieux adapté avec un feu en mi-saison, 2 feux en saison froide et 3 feux par jour en cas de vague de froid.
- Orientation de la porte : La porte irradie bien plus que les parois en brique. Je voudrais mieux utiliser cet apport de chaleur. Je vais l’orienter vers le milieu de la pièce. J’envisage aussi de prolonger cette surface radiative vers le haut en remplaçant la vitre du four noir par une plaque en métal afin de chauffer plus rapidement la zone de vie.
j'ai ajouté un fil sur la mesure des températures dans les différentes épaisseures de peau : http://www.ecologie-pratique.org/forum/viewtopic.php?showtopic=6248
Suite sur la page : l'optimisation des entrées d'air
Encore quelques points d'amélioration
Utilisation et entretien :
- Foyer : il serait plus confortable pour le chargement et le nettoyage du foyer que son plafond soit situé au moins 200mm plus haut. Avec un batch 200, on gagne déjà 180mm. Je vais essayer de remonter le bas de 100mm si la longueur du HR et la hauteur sous plafond le permettent
- Cendres et poussière :
- les cendres et parfois des braises peuvent tomber lors de l’ouverture de la porte. J’aimerais les récupérer à l’aide d’une bavette située sous cette dernière.
- Le bois est une grosse source de poussières. Il faudrait prévoir une niche sous le foyer pour stocker le bois et contenir la poussière à l’aide d’un petit muret (30mm de haut).
- Fumées :
- les fumées s’échappent de la porte quand on l’ouvre, j’aimerais les aspirer par un tirage secondaire soit au dessus de la porte comme dans les anciens fours à pain.
- Cette fumées noircit la brique au dessus de la porte. Je prévois d’utiliser un matériau plus facile entretenir comme de l’acier.
- Outillage pour les cendres et les braises : une pelle étroite pour ramasser les cendres dans le bas du foyer, un petit râteau pour séparer les cendres et les braises (je les pousse au fond quand je recharge), une petite brosse avec un long manche afin d’éliminer les cendres tombées dans l’admission d’air secondaire.
- Nettoyage de la cloche : au vu de la quantité de suie déposée dans ma présente cloche, il est indispensable de prévoir des regards de nettoyage. Je vais sans doute les faire en métal de 4mm, peut-être avec de la superwool à l’intérieur
Améliorations pour la cuisson :
- Four noir ou four blanc : Je pensais qu’un four noir serait plus chaud qu’un four blanc. Dans cette configuration, le four est juste au dessus du foyer. La sortie des fumées est à gauche de la sole du four. Au vu des relevés de température, cette dernière est bien plus chaude que les fumées environnantes. J’espère donc obtenir une température plus élevée avec un four blanc au dessus du foyer.
- four noir ou four blanc : en plus de performances thermiques faiblardes, mon four s’est couvert de suies dès les premiers feux. N’oubliez pas votre cocotte dedans avant de lancer un feu. Elle sera vraiment difficile à nettoyer.
- contrôle de la température du four : quels moyens pour refroidir le four si il devient trop chaud ? Prévoir des ouvertures en dessous et au dessus ou tout simplement ouvrir la porte ?
- barbecue : c’est pas vraiment conseillé car cela peut encrasser les cloches, cependant j’utilise mon poêle comme un barbecue ou plutôt un tandoor. Je vais ajouter des rainures sur les côtés du foyer pour insérer des grilles de cuisson.
- soupes et ragoûts : soit dans le four quand le feu est éteint soit prévoir une place à température modérée pour poser la casserole
Utilisation et entretien :
- Foyer : il serait plus confortable pour le chargement et le nettoyage du foyer que son plafond soit situé au moins 200mm plus haut. Avec un batch 200, on gagne déjà 180mm. Je vais essayer de remonter le bas de 100mm si la longueur du HR et la hauteur sous plafond le permettent
- Cendres et poussière :
- les cendres et parfois des braises peuvent tomber lors de l’ouverture de la porte. J’aimerais les récupérer à l’aide d’une bavette située sous cette dernière.
- Le bois est une grosse source de poussières. Il faudrait prévoir une niche sous le foyer pour stocker le bois et contenir la poussière à l’aide d’un petit muret (30mm de haut).
- Fumées :
- les fumées s’échappent de la porte quand on l’ouvre, j’aimerais les aspirer par un tirage secondaire soit au dessus de la porte comme dans les anciens fours à pain.
- Cette fumées noircit la brique au dessus de la porte. Je prévois d’utiliser un matériau plus facile entretenir comme de l’acier.
- Outillage pour les cendres et les braises : une pelle étroite pour ramasser les cendres dans le bas du foyer, un petit râteau pour séparer les cendres et les braises (je les pousse au fond quand je recharge), une petite brosse avec un long manche afin d’éliminer les cendres tombées dans l’admission d’air secondaire.
- Nettoyage de la cloche : au vu de la quantité de suie déposée dans ma présente cloche, il est indispensable de prévoir des regards de nettoyage. Je vais sans doute les faire en métal de 4mm, peut-être avec de la superwool à l’intérieur
Améliorations pour la cuisson :
- Four noir ou four blanc : Je pensais qu’un four noir serait plus chaud qu’un four blanc. Dans cette configuration, le four est juste au dessus du foyer. La sortie des fumées est à gauche de la sole du four. Au vu des relevés de température, cette dernière est bien plus chaude que les fumées environnantes. J’espère donc obtenir une température plus élevée avec un four blanc au dessus du foyer.
- four noir ou four blanc : en plus de performances thermiques faiblardes, mon four s’est couvert de suies dès les premiers feux. N’oubliez pas votre cocotte dedans avant de lancer un feu. Elle sera vraiment difficile à nettoyer.
- contrôle de la température du four : quels moyens pour refroidir le four si il devient trop chaud ? Prévoir des ouvertures en dessous et au dessus ou tout simplement ouvrir la porte ?
- barbecue : c’est pas vraiment conseillé car cela peut encrasser les cloches, cependant j’utilise mon poêle comme un barbecue ou plutôt un tandoor. Je vais ajouter des rainures sur les côtés du foyer pour insérer des grilles de cuisson.
- soupes et ragoûts : soit dans le four quand le feu est éteint soit prévoir une place à température modérée pour poser la casserole
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